J’adore le nom de Zanzibar et cette image de femmes, qui reviennent de leur pêche quotidienne en marchant d’un pas harmonieux, m’apaise.
J’espère que vous aussi.
(photo Maggie Jary)
Un cadeau supplémentaire à celui ou celle qui trouvera le rapport entre Zanzibar et cette vidéo …
de celui dont je n’ai appris qu’aujourd’hui qu’il était le fils de Marc Chagall!
Facile, en tapant, non frappant, encore moins, en proposant les 3 noms : le père, le fils et la ville (pas Philippe) dans goût-gueule on a rapidement la réponse, et cela vaut le détour, côté des chansons du bon-homme.
Un livre « Tous les bars de Zanzibar » en 1994, dont le titre laisse entrevoir que l’auteur a du souvent trinquer.
http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/15974
Petit résumé :
Dans ce livre, comme dans «Quelques pas dans les pas d’un ange», (où il racontait sa jeunesse) et «Tangages et roulis» (où il racontait sa cure de désintoxication à l’alcool), David McNEIL nous raconte une partie de son incroyable vie de bohème, ici en gros les années 1962-1980…
Et là c’est l’explosion, on est littéralement pris à la gorge par la beauté, l’intensité, la rapidité, la drôlerie, l’authenticité de ses mémoires, toujours dans le style habituel de l’écrivain anglais, simple, beau, sans se «prendre la tête».
On y croise Yves MONTAND, Jacques BREL, Robert CHARLEBOIS… et beaucoup d’autres encore pour qui David McNEIL a écrit, et avec qui il a fait la bringue…
On voyage beaucoup aussi, on est dans la dèche à Londres, dans le bâtiment à New York, chez des amis à Athènes, on ouvre un atelier de sculpture à Paris, ou un resto à Bruxelles…
On apprend comment se débrouiller sans un sou, comment démolir un bar, comment échapper à l’armée, comment se débarrasser de locataires ennuyeux…
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Derrière un interprète, il y a assez souvent… parolier(s) et musicien(s)… de génie(s).
“Derrière un interprète, il y a assez souvent… parolier(s) et musicien(s)… de génie(s).”
C’est une question de collectif, comme si souvent !
Sourire