À l’occasion du 81e Salon International de l’Auto et accessoires qui se tient actuellement à quelques kilomètres seulement de chez moi mais où je ne me rendrais pas, par manque d’intérêt et … de voiture, j’ai décidé de concurrencer la presse spécialisée du week end, et de vous offrir ce supplément spécial pour vous présenter :
1. La voiture la plus chère du monde : la Bugatti Veyron 16-4 Super Sport, affichée à 1,625 millions d’euros sur ce site où j’ai trouvé le prix et où vous trouverez les 9 challengers, entre 1,58 millions et 875.000 € (seulement).
Je vous épargne la conversion en années de smic mais ne résiste pas à vous donner le prix de la même en Inde, où Bugatti vient de s’implanter : 160 millions de roupies (2,55 millions d’euros) grâce à une taxe d’importation de 110%.
2. La voiture la moins chère du monde : La Tata Nano, affichée à 135.122 roupies (2150€) à Goa (mais les tarifs varient selon les états) et dont on ignore encore le prix à l’export. La version présentée à Genève est un concept car dénommée Pixel, qui donne une idée de l’adaptation du modèle de base au marché occidental.
Je m’épargne la conversion de la Bugatti en équivalent Nano…
Et je vous en rajoute une troisième : la Club Car, dont j’ignore le prix et dont on ne donne pas cher… de la peau du conducteur, qui n’a pas vraiment de raisons de venir à Genève où ses avoirs (éventuels) sont gelés…
Mais Kadhafi s’accroche au volant !
(photos Peu importe et Ahmed Jadallah)
Parmi les milliers de mails que je reçois d’admirateurs et trices de ce blougui trop modestes ou trop timides pour laisser leurs commentaires dans le formulaire prévu à cet effet, beaucoup me reprochent de porter un regard sur le monde trop souvent pessimiste, noir et plombant.
Je plaide non coupable et vous renvoie à l’actualité internationale (sans parler de l’actualité nationale dont justement je parle peu) qui est encore plus noire et plombante.
Mais aujourd’hui, je veux bien faire un effort et vous dire que “ce monde est merveilleux” et même plutôt 9 fois qu’une, avec ces 9 versions de What a Wonderful World, classées… au petit bonheur :
Et pour renchérir un peu, je vous en mets une dixième, magnifique, mais en version sonore uniquement :
Alors, heureux(ses) ?
une palme pour la version dépressive de Nick Cave Shane MacGowan 😉
Super heureux !!! voici un titre qui respire la bonne humeur, l’optimisme et l’espoir…
Et pour moi ça sera la version de Joey, qui signe là une des meilleures reprises de tous les temps…
Une autre version plutôt pas mal avec un superbe timbre rauque par la québécoise Terez Moncalm:
http://www.wat.tv/video/what-wonderful-world-terez-1xvmw_2fqpn_.html
Bon week end
Dans un monde merveilleux on aurait tous une Tesla !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Tesla_Roadster
Et dans monde noir et plombé une Trabant !
http://fr.wikipedia.org/wiki/Trabant
Non ?
Et puis je m’attendais à voir 1001 hotesses pour la Veyron ! Je suis déçu… j’annule ma commande.
Concernant la musique, j’avoue que j’ai un petit faible pour Eva Cassidy, une admiration sans bornes pour Robert Wyatt et j’ai bien aimé aussi la version proposée par le fidèle Juthova.
Mais l’original est inégalable.
Je vous avais gardé ça de côté :
Le genre de clip qui me fait me sentir moins seul avec mon regard sur le monde. On pourrait en faire un second volet 2001-2011 ?
Concernant les Testa ou les Trabant, dans un monde merveilleux on marcherait à pied, tranquillement, au rythme de la musique. Non ? Ah bon !
Ma préférence à moi va à la version toute douce de Iz, que j’ai déjà souvent utilisé comme analgésique et/ou cicatrisant…
car il est meilleur d’aimer le bien que de haïr le mal.
Et en dehors des voitures et du sexe, une autre idée pour s’émerveiller et se sentir honoré de faire partie de ce prodigieux chef-d’œuvre qu’est l’univers :
Merveilleux film (parmi plein d’autres d’ailleurs), qui n’occulte pas pour autant les désastreuses interventions (euphémisme) de l’homme.