Mahmoud Ahmadinejad n’a pas assisté vendredi à Téhéran aux obsèques de Mostafa Ahmadi-Roshan, le spécialiste du nucléaire iranien assassiné mercredi dans des conditions troubles où l’implication d’Israël semble plus que probable.
Le président iranien achevait hier une tournée de cinq jours en Amérique latine (Venezuela, Nicaragua, Cuba et Equateur), où il a trouvé des alliés dans sa lutte anticolonialiste : Hugo Chavez, Daniel Ortega, Fidel Castro et Rafael Correa.
“Nos relations avec les pays d’Amérique latine sont très bonnes et se développent. La culture des peuples de cette région et leurs demandes historiques ressemblent aux demandes du peuple iranien. Ce sont des peuples qui ont une pensée anticolonialiste, c’est pour cela qu’ils résistent face au régime de l’oppression (les Etats-Unis)”.
À ce niveau-là de géopolitique, je reste juste pantois, avec cependant quelques interrogations quant à la volonté des hommes et des femmes sud-américains de vivre dans un régime théocratique.
(photos Atta Kenare, Adalberto Roque, Juan Barreto, Cesar Perez, Oswaldo Rivas, DR, Rodrigo Buendia, Enrique de la Osa)
C’est presque une coïncidence.
En vous cherchant cette semaine un morceau pour ce samedi, m’est revenue une des chansons que j’ai peut être le plus écoutée, la passant à fond sur mon magnéto coincé entre mes genoux pendant que je roulais à fond sur ma mobylette®. C’était avant l’invention du mp3 et même du walkman®.
Bref.
Voici Trouble, dont j’ai trouvé peu de reprises et dont je ne vous garde qu’une version en images : LA référence, à savoir la scène finale d’Harold et Maude.
Une bien belle reprise par Elliott Smith :
Un tempo plus lent par Kristin Hersh :
Une version éthérée par un artiste dont je n’ai pas réussi à retrouver l’identité… (avis aux amateurs) :
Une version live en 2010, par Cat Stevens rebaptisé Yusuf Islam :
Et, enfin … Montez le son pour couvrir le bruit du moteur !