J’ai failli intituler cet article Le Changement c’est maintenant, mais j’ai eu peur qu’au lendemain d’élections calamiteuses pour le part au pouvoir (je parle de la France, pas de l’Ukraine), vous ne voyiez en moi un partisan de je ne sais quel social libéralisme.
Et dire que François Hollande ne vas même pas pouvoir remanier à nouveau.
Non, il s’agit d’un autre François, que certains appellent souverain pontife, mais que je qualifierais plutôt de sacré…
Car, même s’il s’agit d’une nouvelle action de son plan de communication, qu’il reste le responsable d’une religion souvent contradictoire avec l’évangile, qu’il agit en espérant devenir le premier pape Prix Nobel de la Paix plutôt que le xième banalement canonisé, force est de reconnaître qu’en changeant de mur, le pape François a réalisé un geste d’une belle symbolique en faveur d’une paix qui paraît tellement compromise entre la Palestine et son occupant, Israël.
Sur le chemin de la Basilique de la Nativité (place de la mangeoire, Bethléem, Palestine) où il a célébré une messe devant 10.000 fidèles (et 3.000 membres des forces de sécurité palestiniennes) François a donc fait arrêter sa voiture au pied d’une tour de guet érigée sur le mur de séparation couverts de graffitis, dont un qui l’interpellait : “Pape, nous avons besoin de quelqu’un pour parler de justice”.
S’il s’est recueilli silencieusement à cet endroit, François avait auparavant appelé à “mettre fin à une situation toujours plus inacceptable” ainsi qu’à “la reconnaissance de la part de tous du droit de deux Etats à exister et jouir de la paix et de la sécurité dans des frontières internationalement reconnues”.
Il a ensuite invité les président Mahmoud Abbas, et Shimon Peres à le rejoindre au Vatican pour prier tous trois pour la paix.
Sans être naïf, béatement optimiste ou soudainement converti, j’avais quand même envie de saluer un sacré… bonhomme. Et si continue de douter de Dieu, je persiste à croire en l’Homme.
(photos : Mheisen Amareen, Ariel Schalit, Osservatore Romano)
Dieu ou fils de Dieu, il y en quand même un des deux qui fut justement un homme. De parole…
Lucky Peterson nous annonce son prochain album, The Son of a Bluesman, pour le mois prochain. Avec un sacré clip en avant goût. Et si je ne comprends pas toujours les paroles, le blues parle au delà des mots !
…en tous cas, c’est un sacré bel effort !
Mais ce seront des paroles vites oubliées.
En tout cas de Dieu auquel tu ne crois pas, dis-tu, qu’est-ce qu’il te travaille. Je laisse à Richard le soin de compter son nombre d’apparitions dans ces pages !
Qui sait ? Peut être que Dieu m’tripote comme disait feu Desproges :
« Plus cancéreux que moi, tumeur ! »
« Je suis mort d’un cancer du poumon. Étonnant, non ? »
Colère de Dieu ?
Considérant d’une part que ce blougui nous rapporte, merveilleusement bien même si un peu durement quelquefois, de toutes les misères et folies du monde…
Considérant d’autre par que « Dieu », aussi hypothétique qu’il puisse être, est responsable (certes, indirectement) d’au moins 80% des attentats, des suicides, des jugements stupides, de l’intolérance abjecte, de la haine de la différence, de rites cruels et inutiles,… et surtout de 80% des conflits et des guerres (liste non exhaustive je m’en excuse).
On pourrait donc s’autoriser à penser qu’au moins 80% des billets devraient faire référence à « Dieu » ou une des innombrables grandes sectes (appelées religions) qui s’appuient sur lui.
Et bien non ! C’est beaucoup moins de 90% !!! 🙂
Tout simplement parce que le fric est responsable de 50% des misères et folies du monde ! 😉
Donc, au final :
10 % de billets détentes (tout de même)
90 % de billets misères et folies qui se décomposent ainsi :
>> 50% de 90% = 45% dû au fric
>> 80% de 50% de 90% = 40% du à « Dieu »
>> et 5% dû à autre chose…
Bien sur, je laisse le soin à Mariedo de vérifier tout cela. 🙂
Merci de la bonne tenue des statistiques, même si je les soupçonne d’une certaine partialité.
Marie-Do croit en l’inconscient, si je résume bien : 100% des billets ont un rapport avec une sorte de ça…
Sourire à vos fidélités commentatrices.
Et surtout je ne suis pas obsessionnelle, mais plutôt hystérique. Il semble que les occupations des gars et des filles ne contredisent ici pas la pensée freudienne pourtant si contestée.
Excusez du retard (on est déjà demain) mais j’ai parfois à faire ailleurs.