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Il y a eu bousculade hier dans les rubriques nécrologiques (et peut être aux portes du paradis…)

Mais entre le couturier Óscar de la Renta, le pétroleur Christophe de Margerie, le parolier de Chanson populaire Nicolas Skorsky et quelques autres, j’ai choisi de saluer la mémoire René Burri.

Mais si, vous savez. L’auteur de la photographie du Che en 1963.

C’est fou comment un homme peut se retrouver vite résumé, me suis-je dit en retrouvant cette photo dans ma mémoire puis dans tellement d’articles.

Aussi, pour ne pas réduire trop vite cet humaniste à un petit tas de cendres, j’ai parcouru le catalogue de ses œuvres sur le site de l’agence Magnum. Et j’ai trouvé quelques clichés hors des clichés battus, en provenance de Chine, de France, des Etats-Unis, du Liberia, d’Afrique du Sud, d’Italie, de Corée du Sud, de Bolivie, de Trinité-et-Tobago, du Bangladesh (encore Pakistan oriental), d’Israël (ou de Palestine ?), de Suisse et de Cuba prises entre 1946 et 2007, que j’ai entremêlés de diverses prises de vue de cette fameuse entrevue de janvier 1963, quand Laura Bergquist interviewait Ernesto Che Guevarra.

Et où est passé LA photographie du Che ? me direz-vous…

Elle est dans toutes les mémoires.

(photos René Burri)

Hasta Siempre… J’aurais dû garder la musique d’hier pour aujourd’hui. Mais je ne pouvais pas prévoir.

Bref.

Comme j’ai eu l’air en tête toute la journée d’hier, je n’ai pas réussi à trouver autre chose que cette chanson de Carlos Puebla, dont Natalie Cardone a donné la version la plus célèbre et qui est reprise ici par Pierre Vassiliu. Auprès duquel je m’excuse de ne pas l’avoir salué quand il est mort cet été…