Il serait bien que les femmes arrêtent de se plaindre d’avoir une seule journée par an qui leur est consacrée et les 364 (ou 5) autres pendant lesquelles elles sont encore discriminées, exploitées, violentées. Voire tuées “parce que trop maigre”.
Et les enfants pareils. Parce qu’entre la Journée internationale des droits de l’enfant (20 novembre), la Journée internationale des enfants soldats (12 février), la Journée internationale contre le travail des enfants (12 juin), la Journée mondiale contre l’esclavage des enfants (16 avril), vous allez finir par croire que c’est Noël tous les jours.
Pensez un peu à la planète…
Qui n’a qu’une heure.
L’opération “Une heure pour la planète” (earthhour en bon français moderne) s’est donc déroulée samedi dernier à l’initiative du Fonds mondial pour la nature (WWF) qui invitait toutes les bonnes volontés à éteindre les lumières pendant une heure.
Les petits malins auront choisi d’éteindre entre deux et trois heures dans la nuit de samedi à dimanche, mais plusieurs millions de participants à travers le monde ont répondu à l’appel, pour témoigner de leur conscience de la nécessité de lutter contre notre surconsommation énergétique responsable du changement climatique. On pouvait même “exercer son pouvoir” grâce à son smartphone, nous apprend le site consacré à l’opération par WWF qui ne compte pas les nouvelles technologies comme des menaces pour la planète. pas plus que le capitalisme sans doute…
Bref.
Vous pouvez voir de belles images de monuments du monde plongés dans le noir à plein d’endroits sur le web, comme là.
Et une seule photo (en provenance de Lisbonne) sur abcdetc, qui a décidé de s’économiser mais qui, à la veille de son 6e anniversaire (si, si…) prend l’engagement de continuer à consacrer (au moins) une heure par jour à vous parler de cette satanée planète.
Si en signe de solidarité, vous pouviez passer 30 secondes à faire signe dans les commentaires… Merci d’avance.
(photo : Fransisco Seco)
Un peu de fado puisqu’on a fait un détour par le Portugal ?
Même si Noëmi Waysfeld est française et interprète Amalia Rodrigues en yiddish avec son groupe Blik, on ne va pas se priver d’un peu d’émotion.
un peu de lecture chaque matin mais peu de commentaire en effet… mais un beau début de journée
déjà 6 ans , le temps passe !!!
bravo pour cette régularité
Mais si, mais si, nous sommes là … mais il y a des timides …
En tout cas, j’aime bien ce petit moment matinal ici 😉
Quelle gabegie pour éclairer des monuments publics ou officiels ou de grosses boites …. demander aux aveugles ce qu’ils en pensent …
On pourrait imaginer un temps aussi sans bruit, ce qui veut dire sans arme, sans moteur, sans sonnette de téléphone ou autres rappels intempestifs, sans sono déchaînée, pas d’autre bruit que le vent ou l’eau qui coule, ou un chant d’oiseau, ou un rire d’enfant, ou une belle voix. ….
Que de choses avec des si ….
Une heure sans électricité ! Mince je n’était pas au « courant » !
6 ans déjà… le temps passe bien vite.
Surement parce que je commence à être bien vieux ! 🙂
Une autre manière de voir la relativité ou plutôt le ressenti du temps qui passe c’est de le comparer à son age… Pas si faux, même si ce n’est certainement pas simplement inversement proportionnel.
Cela fait donc à peu près 6 ans qu’on se connait aussi, comme cela fait 6 ans ou je suis littéralement aspiré tous les matins par abcd !
Merde ! J’y pense tout à coup !
Ça fait donc 6 ans que je dépense une heure d’électricité tous les jours pour me tenir au « courant » de ce qu’il se passe sur notre belle earth (en bon français moderne)… Ha la la !!! 🙂
allez aujourd’hui je fais cet effort, mais non, je me fais ce plaisir d’écrire un commentaire et je propose la journée du rien de rien car il y a des jours « avec » et des jours « sans »…les heures sans bruits cela me plairait bien (surtout quand je dors), un heure sans courir c’est chouette aussi…Une heure sous la couette…
pour te dire que oui, je suis là aussi même si je suis avare de commentaire…je te lis chaque jour
Encore un an et ce blougui aura atteint l’âge de raison… Mais je te lis depuis bien plus longtemps que ça, même si je ne commente plus aussi souvent.
Je t’embrasse.