Le repos du guerrier

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Je sais, j’ai déjà utilisé le titre du jour à deux reprises, dont l’une à l’occasion du 2000e billet de ce blougui !

Mais…

Mon envie de paresse m’a rattrapé au vol quand j’ai réalisé que le week-end durerait 4 jours pour cause de fête nationale… et parce que la rigueur qui rôde dans les parages du travail qui me paye a (pour le moment encore) épargné les congés payés associés.

Bref.

Me voilà au vert pour quelques jours, paressant comme ces lions, dans les arbres du parc national de Serengeti en Tanzanie, sous l’objectif de deux photographes dont les images me sont parvenues cette semaine. Coïncidence.

À bien y regarder, il s’agirait plutôt de lionnes, et j’aurais pu changer le titre de ce billet.

Mais, en tant que mâle (même pas dominant) et par solidarité avec les lions qui (d’après mes souvenirs de documentaires animaliers) ont bien besoin de repos, je garde le titre.

Et n’en dis guère plus…

(photos : Bobby-Jo Clow, Alexandr Kirichko)

Et puisque ce billet durera jusqu’à mardi 14 juillet, j’ai pensé à la musique qui marche au pas de Brassens et sa Mauvaise réputation

Par :

  1. Georges Brassens
  2. Sinsemilia
  3. Sandra Nkaké, qui est déjà passée par ici, je sais, et dont la robe de cuir m’évoque encore plus Ferré que Brassens
  4. Paco Ibañez qui a traduit la chanson par La Mala Reputación