Si je déplore parfois (trop souvent) le peu d’audience de ce blougui rapportée aux efforts qu’il me demande (parfois) et au temps que je lui consacre (trop souvent, bis), je ne peux qu’être ravi de l’impatience de certaine lectrice (au singulier, eh oui…) s’étonnant de la publication plus qu’épisodique des billets depuis quelques temps.
C’est que les vacances (ou plutôt congé payés comme j’aime à le rappeler) n’étant pas terminé(e)s, la reprise n’est pas encore effective.
Mais, dès lundi, je m’y remets. Promis.
Le temps de prendre la route dans le sens des départs (c’est à dire celui du retour chez moi), et de ranger les maillots et autre bouée, comme cette enfant photographiée sur l’île grecque de Kos… après une traversée clandestine depuis la Turquie. Et quel périple depuis la Syrie, ou l’Irak ?
Oui, j’ai comme l’impression – la confirmation – que la folie du monde et des hommes n’a pas vraiment pris de vacances.
(Photo : Angelos Tzortzinis)
Dans le choix de la chanson du jour, ne voyez aucune allusion à une quelconque hégémonie allemande sur la « construction » européenne en général et le devenir de la Grèce soumise à un nouveau plan de sauvetage…
C’est un peu une pensée qui navigue de la Lily de Pierre Perret, en 1977, à la Lili Marleen d’avant guerre.
Lili Marleen ou Lily Marlène ?
Par :
- Marlene Dietrich (bien sûr, mais quelques années après la création de la chanson)
- Milva
- Amanda Lear
- Nana (Mouskouri) et Nina (Hagen)
« …dès lundi, je m’y remets. Promis. »

On dirait une vraie peinture cette photo ! 🙂