Si je n’ai pas la télé (comme je l’ai écrit ici naguère et le répète pour ceux qui n’ont pas lu tous les épisodes précédents), je suis parfois au courant de ce qui s’y passe. Notamment grâce à la chronique hebdomadaire du Canard enchaîné.
Ainsi, j’ai entendu parler du documentaire Le sable – Enquête sur une disparition diffusé par Arte en mai dernier (disponible en replay jusqu’à … hier et rediffusé lundi prochain) et qui raconte la lente érosion des plages du monde pour cause de surexploitation par les industriels et autres bétonneurs…
À Dubaï ou ailleurs !
Plus que la pénurie de pétrole, le monde serait donc menacé d’une pénurie de sable.
Nous voilà bien…
J’ai failli être rassuré en apprenant qu’une gigantesque tempête de sable touchait actuellement le Proche Orient. Comme on le voit sur ces images en provenance du Liban, d’Irak, de Syrie, de Jordanie, d’Israël, ou de Gaza.
Mais je me suis souvenu avoir lu que le sable du désert était impropre à la construction. Ce qui ne va arranger ni le business de Dubaï ni les affaires de Gaza qui attend toujours d’être reconstruite.
(photos : NASA, Mahmoud Zayyat, Mohammed Khair, Raad Adayleh, Thomas Coex, Aziz Taher, Ali Hashisho, Joseph Eid, Haidar Mohammed, Suhaib Salem, Oded Balilty, Ahmad Gharabli, Omar Sandiki)
À propos de sable et de télévision, je salue ici la mémoire d’Antoine Berge qui nous a quitté l’an passé dans une indifférence quasi générale :
Oui, je sais… Ça fait pas vraiment musique du monde !
Plonger dans l’enfance ne fait de mal à personne !!!
Haaa !!! Nounours !
On apprenait à jouer au pipeau à l’école sur cet air là…
Peut-être saurais-je encore si j’en retrouvais un ?