Laissons entrer le soleil

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J’aurais pu titrer le billet comme celui que j’écrivais l’an passé, à peu près à la même époque : Que la lumière soit ! En y ajoutant un point d’exclamation, parce que l’époque est différente et qu’il y a, même à nos corps et âmes défendant, un avant et un après l’événement.

Qu’il y a aussi une différence entre Diwali, que j’évoquais l’an passé avec une simple image, et Chhath puja, abondamment illustré cette année, entre la fête des lumières et celle en l’honneur du dieu soleil, Sūrya.

Même si c’est bien de lumière dont j’ai besoin autant que le monde et, pour reprendre les mots de l’an passé de « l’espoir que nos âmes humaines n’aient pas fini de rayonner ».

Et s’il est bien question encore, à Bombay, Delhi, Hyderabad, Ahmedabad, Allahabad, Chandigarh ou Katmandou, de faire la fête en pensée d’un dieu, j’ai envie d’oublier que l’hindouisme aussi génère ses extrémistes (et les encourage d’autant que le Premier ministre indien se réfère à cette religion tellement porteuse d’injustices et de violences sociales ou inter-communautaires).

Pour juste regarder cette ferveur, cette concentration, cette soif pure de la lumière.

Et les jeux, les joies qui vont avec.

« Simplement. Ou presque. »

(photos : Anindito Mukherjee,Rafiq Maqbool, Prakash Mathema, Noah Seelam, Sajjad Hussain, Rajanish Kakade, Niranjan Shrestha, Ajay Verma, Tsering Topgyal, Jayanta Dey)

En attendant la sortie de son nouvel album prévue pour le printemps prochain, Elysian Fields nous a clipé un titre de son précédent disque, For House Cats and Sea Fans : Alms for your love.

Lumineux, à sa manière pleine d’ombres.