“Aujourd’hui : rien !” Une citation de Louis XVI, en exergue du billet du jour, pour accompagner l’image du même jour, qui nous vient de Grande-Bretagne. Ou d’Angleterre. Ou du Royaume-Uni. Je m’y perd. Une image trouvée dans la galerie de vendredi du Guardian de Londres, parmi tant (trop) d’autres évoquant le scrutin de la veille.
Dont je ne parlerai pas, pour ne pas ajouter à la cacophonie ambiante, ou plutôt le sympathique chœur unanime des habituels experts, éditorialistes et autres spécialistes de l’explication de texte à l’usage des peuples mal éclairés. À se demander à quoi servent les politiques qui les guident ou les journaux qui les informent…
Bref.
À cause de ce tohu-bohu médiatico-politique, on a partout oublié de dire que c’était hier la Sain-Jean. L’occasion de célébrer la lumière au moment du solstice d’été. Merci donc au Guardian de m’avoir rafraîchi la mémoire à temps, grâce à cette photographie prise à Paredes, en Espagne.
Où l’on se prépare à voter dimanche. De manière éclairée ?
(Photo : Miguel Vidal)
Dans le brouhaha de l’information d’hier, je n’ai même pas réussi à comprendre qui (l’Angleterre, la Grande-Bretagne, le Royaume-Uni), quand (dans deux ans, toute de suite), comment (par application de l’article 50 du Traité de Lisbonne ou par l’abrogation de la loi anglaise d’entrée dans la Communauté européenne…) allait se dérouler la séparation, la rupture, le divorce…
Bref.
De toutes façons, on s’en remettra. Comme de toute rupture, non ? Qui donnent parfois de jolies chansons.
(Par souci de coller quand même à l’actualité, je ne vous ai choisi que des chansons française… Un peu dans un ordre aléatoire, à vous de choisir celle(s) qui vous convien(nen)t)
- Joe Dassin : Ça va pas changer le monde
- Gilbert Bécaud : Et maintenant
- Alain Barrière et Noëlle Cordier : À présent, tu peux t’en aller
- Les Surfs : T’en vas pas comme ça
- Boby Lapointe : Ta Katie t’a quitté
- Françoise Hardy : Comment te dire adieu
- Sabine Paturel : Les Bêtises
- Mano Negra : Pas assez de Toi
- Hubert-Félix Thiéfaine : Je t’en remets au vent