(Ne plus)
Croire en la lumière

Slide 1

« Faute d’être en mesure de fonder par magie un état du monde tel qu’on le souhaite, il convient de sauver ce qui reste d’un monde souhaitable »
Antoine de Saint-Exupéry

J’ai fait la connaissance de Joana Choumali via le site des rencontres de Bamako, la Biennale africaine de la photographie qui se déroule jusqu’à la fin du mois, où la photographe ivoirienne expose, parmi quarante artistes, quelques clichés de son dernier projet Ça va aller.

Comme une promesse à laquelle j’ai tant de mal à croire en ce moment.

Mais la citation du jour provient du site d’une autre exposition photographique, Barrobjectif, qui accueillait en 2014 un autre projet de Joanna Choumali, De l’ombre à la lumière.

J’ai trouvé si peu de photographies de cette série réalisée durant deux années de travail de la photographe au sein de l’ONG OES’42:16, qui œuvre pour la réinsertion, la réhabilitation et la promotion des personnes handicapées visuelles par les arts, l’action culturelle, la pratique du sport, les actions communautaires et … l’évangélisation !

Si peu d’images que je n’en ai gardé qu’une. Vous pouvez aller voir les quelques autres via les liens ci-dessus.

Et comprendre – ou pas – mon choix du jour.

Je vous souhaite un doux week-end.

(Photos : Joana Choumali)

Je vous ai déjà proposé naguère 18 reprises du titre du jour, en deux parties (les 4 et 12 novembre derniers).

Et puis, comme je l’ai déjà glissé ici ou là, ma mère a fini de partir il y a 10 jours, le 3 janvier, après plusieurs années de long départ dans la perte de mémoire et de sens qu’on nomme si proprement Alzheimer.

Alors j’ai trouvé quatre nouvelles (ré)interpétations de Motherless Child. En noir et blanc… Les deux couleurs du deuil dans ce monde en contradictions.

Avec :

  1. Louis Armstrong
  2. Lily Frost
  3. Moby
  4. Romare